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1655. (1929) La société des grands esprits

Il admire d’abord les cathédrales pour l’harmonie et l’équilibre de leurs masses, et pour la maîtrise avec laquelle les plans y sont adaptés aux jeux des lumières et des ombres. […] Masson y renvoie quelquefois, mais pas toujours ; il lui arrive de renvoyer aux éditions princeps, sans l’ombre d’un motif apparent et sans autre résultat que de vous faire courir.

1656. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre III. La Déformation de l’Idéal classique (1720-1801) » pp. 278-387

Qui s’étonnera là-dessus qu’il n’y ait pas ombre de psychologie dans les tragédies de Voltaire, dans sa Sémiramis, dans son Orphelin, dans son Tancrède ?

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