Il admire d’abord les cathédrales pour l’harmonie et l’équilibre de leurs masses, et pour la maîtrise avec laquelle les plans y sont adaptés aux jeux des lumières et des ombres. […] Masson y renvoie quelquefois, mais pas toujours ; il lui arrive de renvoyer aux éditions princeps, sans l’ombre d’un motif apparent et sans autre résultat que de vous faire courir.
Qui s’étonnera là-dessus qu’il n’y ait pas ombre de psychologie dans les tragédies de Voltaire, dans sa Sémiramis, dans son Orphelin, dans son Tancrède ?