A mesure que la grande ligne d’ombre reculait, les fleurs apparaissaient au jour brillantes et vivantes.
En abordant dans cet esprit l’œuvre originale que nous tirons de l’ombre pour eux, les lecteurs n’auront, nous l’espérons, nul effort à faire pour se laisser contredire, instruire, divertir, par les enseignements les plus personnels, et même les plus risqués en apparence, du conférencier. […] Fléchier ne fait pas l’ombre d’une réflexion de pitié en faveur de toutes ces victimes ; cela l’amuse, il raconte cela en anecdotes galantes, spirituelles et burlesques.