Il serait injuste d’environner d’un trop grand appareil de critique l’œuvre posthume et véritablement aimable d’un poëte mort sans rien d’amer et qui a vécu si malheureux.
Brunehaut, pour triompher des difficultés intérieures et se donner un point d’appui au dehors, tend la main au pape saint Grégoire, qui reprenait, de son côté, l’œuvre d’agrandissement du saint-siége.