Rodolphe Salis a entrepris d’être le scandaleux créateur d’un journal exclusivement occupé d’art et en dehors de toute spéculation industrielle d’un genre quelconque. […] Cadet s’est dit qu’on ne s’occupait pas assez des convalescents.
Du point de vue nouveau où nous voulons nous placer, nous allons voir le théâtre reprendre son importance, et souvent occuper le premier rang. […] C’est ensuite, et ceci est le point particulier qui nous occupe, de porter contre la société cette absurde accusation d’être, par sa coupable insouciance, la cause volontaire d’un état de choses où la souffrance physique conduit à la dégradation morale ; si bien que c’est la société elle-même qui, dans le langage de l’auteur, impose cette dégradation à un nombre immense de ses membres.