* * * — L’excès du travail produit un hébétement tout doux, une tension de la tête qui ne lui permet pas de s’occuper de rien de désagréable, une distraction incroyable des petites piqûres de la vie, un désintéressement de l’existence réelle, une indifférence des choses les plus sérieuses telle, que les lettres d’affaires très pressées, sont remisées dans un tiroir, sans les ouvrir.
En ce moment elle est fort occupée des albums japonais, dont elle transporte les fleurs et les oiseaux, sur les feuilles d’un paravent de soie.