Champfleury Ce Pétrus Borel, forçant l’étrangeté pour dissimuler son peu d’imagination, se présentant en « loup » dans la civilisation, goguenard très travaillé, sans cesse en quête de sujets étonnants, voulant attirer l’attention du public par son orthographe, n’écrivant toutefois qu’avec peine de bizarres récits en prose, poète jadis, dont les vers étaient hirsutes et martelés, à la tête autrefois d’un groupe d’artistes à tous crins qui avaient laissé leurs cheveux dans les mains de l’occasion.
Tiercelin, Louis (1849-1915) [Bibliographie] L’occasion fait le larron, comédie (1867). — L’habit ne fait pas le moine (1868). — Les Asphodèles, poésies (1873). — L’Oasis (1880). — Un voyage de noces, comédie en vers (1880). — Primevère, poème (1881). — Stances à Corneille (1882). — Corneille et Rotrou, comédie en vers (1884). — Les Anniversaires (1887). — Le Rire de Molière, comédie en vers (1888). — La Mort de Brizeux (1888). — Le Parnasse breton contemporain (1889). — Le Grand Ferré (1891). — Les Cloches, poésies (1892)