Ces deux événements furent l’occasion, dans la presse, d’un assez grand nombre d’articles. […] En instruisant autrui il ne fait qu’utiliser des connaissances acquises sans trouver, en retour, aucune occasion de les étendre. […] Il se bornait à être, le plus qu’il pouvait, absent en pensée de la classe et à y réduire le plus possible les occasions d’intervention personnelle. […] Mais, au moins, que nos édiles ne leur donnent pas l’occasion d’aviver nos regrets. […] Je cherchais même des occasions d’attirer son attention.

Pourquoi, se demande-t-on, ce faux air de mollesse et d’apologie de la part d’un philosophe qui soutient en toute occasion la cause de la conscience humaine, de la morale spiritualiste, et qui, hier encore, réfutait Cabanis dans la Revue des Deux Mondes ?