Jamais enfin la saine critique n’eut plus d’occasions d’exercer sa sévérité contre tant d’ouvrages « que le mauvais goût fait admirer, malgré l’obscurité, la bassesse, l’enflure, l’affectation & les puérilités dont ils sont remplis ; ouvrages cependant qui ont non-seulement une approbation presque générale, mais qui ne l’ont que parce qu’ils sont mauvais ; car un Discours sensé, qui n’a rien que de naturel, n’est d’aucun mérite ; on n’y trouve point d’esprit.
Les apparents désordres de la nature et ceux de l’humanité ne sont que des occasions de courage et de lutte pour l’homme, du devoir, des symboles de notre destinée, telle qu’un Corneille l’a conçue : … … Quand la tempête gronde, Mes amis je me sens une foi plus profonde ; Je sens dans l’ouragan le devoir rayonner, Et l’affirmation du vrai s’enraciner.