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1912. (1772) Discours sur le progrès des lettres en France pp. 2-190

Jamais enfin la saine critique n’eut plus d’occasions d’exercer sa sévérité contre tant d’ouvrages « que le mauvais goût fait admirer, malgré l’obscurité, la bassesse, l’enflure, l’affectation & les puérilités dont ils sont remplis ; ouvrages cependant qui ont non-seulement une approbation presque générale, mais qui ne l’ont que parce qu’ils sont mauvais ; car un Discours sensé, qui n’a rien que de naturel, n’est d’aucun mérite ; on n’y trouve point d’esprit.

1913. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre huitième. L’introduction des idées philosophiques et sociales dans la poésie (suite). Victor Hugo »

Les apparents désordres de la nature et ceux de l’humanité ne sont que des occasions de courage et de lutte pour l’homme, du devoir, des symboles de notre destinée, telle qu’un Corneille l’a conçue : …                               … Quand la tempête gronde, Mes amis je me sens une foi plus profonde ; Je sens dans l’ouragan le devoir rayonner, Et l’affirmation du vrai s’enraciner.

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