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1009. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236

ne laissait passer, sans un éclatant tribut de son zèle et de son talent, aucune occasion de divertir et de flatter le roi, et qui enfin avait cela de particulier, qu’amant malheureux, mari trompé, il était poète sans pitié pour les victimes d’un désordre qui faisait son tourment.

1010. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

Il y avait madame de La Fayette, madame Scarron, Segrais, Caderousse, l’abbé Testu, Guilleragues, Brancas. » Nous aurons peut-être occasion de parler plus tard de l’étrange passion de ce comte de Brancas pour madame de Coulanges ; passion qui, lorsque le roi passait insensiblement de la galanterie à la piété, c’est-à-dire de madame de Montespan à madame de Maintenon, prit une couleur de dévotion bizarre, dont il n’appartenait qu’à un courtisan de concevoir l’alliage avec la galanterie, et à la plume de madame de Sévigné de faire la peinture.

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