Il ne s’en tient ni à la simple observation des choses humaines, si formidable qu’il puisse l’exercer, ni au sévère plaisir du penseur qui pénètre dans le fond de l’âme et lui arrache sa vérité, ni à l’art qui enchâsse cette vérité, arrachée de l’âme, dans des pages plus ou moins dignes d’être immortelles.
Mais ses idées sur les peuples pyrénéens ont une source plus désintéressée et plus intellectuelle… Elles lui sont venues en regardant les choses ; c’est le fruit de ses observations d’historien.