Afin qu’un ouvrage nous touche, il faut que l’élegance du dessein et la verité du coloris, si c’est un tableau, il faut que la richesse de la versification, si c’est un poëme, y servent à donner l’être à des objets capables par eux-mêmes de nous émouvoir et de nous plaire. […] Ils ont voulu arrêter nos sens sur les objets destinez à toucher notre ame.
Ce qu’on lui propose pour être l’objet de son application, ne sçauroit le fixer, si cet objet n’est pas celui que la nature veut qu’il suive.