Nous avions en même temps Homère sous notre oreiller, comme Alexandre ; nous passions des nuits récentes d’insomnie à feuilleter tantôt l’Iliade d’Homère, tantôt la vie de David dans la Bible. […] XIX Poursuivi de nouveau par Saül, le jeune chef ose descendre une nuit dans le camp avec Abisaï, un de ses plus intrépides compagnons.
En arrivant devant le Rembrandt, qu’on est convenu d’appeler La Ronde de nuit, j’ai retrouvé le même effet, je n’ai vu qu’un plein, un chaud, un vibrant rayon de soleil dans la toile. […] C’est lui qui dit de son Rembrandt, qu’il fait dans la nuit : ho !