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1809. (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome II

En examinant le matin le vase de nuit, après cinq ou six garde-robes, on apercevait au-dessus d’elles une couche d’un pouce d’épaisseur, qui avait tout à fait la consistance et l’aspect de la graisse coagulée sur le bouillon de bœuf. […] Pendant l’intervalle des repas et pendant la nuit, la fistule semblait tarie.

1810. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. FAURIEL. —  première partie  » pp. 126-268

pourquoi, dans les rigueurs d’une nuit glaciale, sous la toile d’une tente mal fermée, dépouilles-tu le manteau qui te garantit à peine du froid pour couvrir ton esclave frissonnant de la fièvre à tes côtés ?

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