Il suffirait d’un nouveau volume pour que nous ayons un récit complet de la Révolution : nous l’attendons de lui. […] À quoi bon, dira-t-on, ce système nouveau hérissé de difficultés qui crée « un vers plan, monotone ? […] — À donner un peu de nouveau à nos intelligences de blasés, à mettre une étincelle d’imprévu dans le siècle le plus platement bête que l’on ait pu rêver ! […] Veranet, qui ne se doute point encore de l’amour qu’il vient d’inspirer, sort de nouveau, sa besogne du jour achevée. […] « Mon roman à cette heure sur le chantier est d’un genre nouveau et que je n’avais pas tenté.
Déjà, nous-mêmes, nouveaux venus de 1828, nous les avions bien étonnés un peu ; mais ils nous adoptèrent vite, je puis même dire qu’ils nous acceptèrent d’emblée, et notre amitié n’eut pas de peine à répondre aussitôt à la leur. […] Ulric Guttinguer, un jour qu’il était allé chez Hugo, Place-Royale, fut très choqué de la distraction qu’il crut trouver à son égard chez le grand poète, et de l’attention marquée qu’on témoignait au contraire à ces nouveaux poètes barbus, à ces artistes à tous crins.