Donner pour base à un beau poème la première larme de compassion divine versée par un ami divin sur la mort d’un ami humain, larme si douce au Dieu des mondes qu’il la recueille, la divinise et l’anime en la faisant la première sœur des anges, c’était être dans le cœur du nouveau siècle.
Le seul changement est que peut-être les nouveaux domestiques, dans leur service, manquent de grâce.