Qui voudrait lire seulement le titre de ces comédies en toiles peintes, jouées par des comédiens de bois, sur le théâtre déshonoré de Molière et de Marivaux, s’étonnerait du nombre de fadaises que peut contenir le règne des poupées ! […] Au nombre des soupirants les plus vifs et les plus empressés, se fait remarquer le duc d’Ascalio.
Non, la critique n’a pas la prétention de tout voir, de tout savoir, de tout revoir, de tout arranger, de tout corriger, de carreler et de décarreler toutes les pièces de chaque maison Elle se contente à moins de frais ; elle se contente d’écraser, d’un mot, certaines hontes qui surgissent de temps à autre au milieu du labeur littéraire ; elle se contente d’éclairer de quelque lumière inespérée, certaines beautés très rares et très charmantes qui tout de suite attirent l’attention, la reconnaissance et les respects de ce petit nombre d’honnêtes gens que le poète appelle un public.