Enfin il arrive à un anéantissement complet, confessant que l’opium donne une certaine hilarité au bout d’un petit nombre de pipes, mais que passé cela, la fumerie amène un vide, accompagné d’une tristesse, d’une tristesse impossible à concevoir.
Ce qui a trompé un certain nombre de spectateurs, c’est sans doute que les uns ont été inattentifs, — comme celui dont je rapportais tout à l’heure le jugement sur Giraud, — et c’est apparemment que les autres sont des inconscients comme Giraud lui-même, d’heureux individus « opérés du sens moral », ainsi que s’exprime M. […] D’où le nombre croissant des solitaires… Si je vous disais : « Il faut se marier à vingt ans, avec une fille de dix-huit ans, à la campagne », vous trouveriez le conseil saugrenu.