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1515. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « UN DERNIER MOT sur BENJAMIN CONSTANT. » pp. 275-299

Hier encore, un estimable journal, du très-petit nombre de ceux dont les jugements comptent, le Semeur 86, tout ému de charmantes lettres d’amour écrites en 1814 par Benjamin Constant, et dont M.de Loménie a publié des extraits, semblait en conclure que nous avions perdu notre cause, comme si nous nous étions mêlé de cette délicate matière, et comme si nous avions rien dit qui pût faire injure à ces tendres billets. […] Un certain nombre des lettres écrites par lui de Brunswick à Mme de Charrière contiennent des détails singuliers, des expressions dont l’initiale seule est très-étonnante et plus que difficile à reproduire.

1516. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Aloïsius Bertrand »

Pourquoi dans ces plaisirs sans nombre, Oublis du terrestre séjour, Ombre rêveuse, aimai-je une Ombre Infidèle à l’aube du jour166? […] si le roi nous lisait dans son Louvre,  — ô ma Muse inabritée contre les orages de la vie,  — le seigneur suzerain de tant de fiefs qu’il ignore le nombre de ses châteaux, ne nous marchanderait pas une pauvre chaumine !

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