C’est ainsi que les noms des divinités mythologiques se trouvent l’un après l’autre éliminés au moyen de synonymes adroits ou de périphrases complaisantes. […] J’ai oublié de dire que le volume est dédié à M. le comte Arthur Beugnot ; il y a des noms qui portent avec eux des garanties de bon esprit, de critique exacte et saine, exempte de toute déclamation.
Rostand aurait pu lui donner aussi bien un autre nom, Lagardère ou d’Artagnan. […] On m’a affirmé qu’en les signalant au public, un critique de la Revue bleue, dont on ne m’a pas dit le nom, avait écrit : « Je salue un vrai poète, peut-être un futur grand poète !