Le dernier comte du nom vient de mourir, laissant toute une famille que Μ. de Girardin nous peint avec le goût désintéressé qu’il a pour la famille. […] Autrefois, dans leurs comédies, les Allemands ne nommaient personne ; car le nom implique la vie, monsieur de Girardin ! […] Il grappille à Voltaire, avec son nom d’Adam, la plaisanterie du premier homme du monde.
Voilà la marque distinctive et à part de ce talent, qui n’est pas un talent ; de ce génie qui n’est pas un génie, quoiqu’on lui donne ce nom pour l’exprimer, parce qu’il n’y a pas de nom au-dessus de ce nom.