. — La Perle noire (1862). — Les Ganaches (1862). — Les Femmes fortes (1862) […] — La Papillonne (1862). — Bataille d’amour (1863). — Les Diables noirs (1863). — Le Dégel (1864) — Don Quichotte (1864). — Les Pommes du voisin (1864). — Les Vieux Garçons (1865). — La Famille Benoiton (1865). — Nos bons villageois (1866) […] Il semble qu’il soit sorti meurtri de sa lutte avec cette pieuvre énorme et horrible appelée le Travail littéraire, et ses beaux cheveux sont de ceux qui consolent les gens chauves d’être chauves, car on voit que cette noire, lourde, charmante et fabuleuse chevelure le dévore !
Voilà donc quatre degrés : 1° Il fait noir, dit l’ignorant. […] Quand je dis : il fait noir, cela exprime bien les impressions que j’éprouve en assistant à une éclipse ; mais dans l’obscurité même, on pourrait imaginer une foule de nuances, et si au lieu de celle qui s’est réalisée effectivement, c’eût été une nuance peu différente qui se fût produite, j’aurais cependant encore énoncé cet autre fait en disant : il fait noir. […] Quand on me demande : fait-il noir ? […] Si donc pendant une éclipse, on demande : fait-il noir ? […] Sans doute ceux-là répondraient non qui parleraient une langue où clair se dirait noir et où noir se dirait clair.