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1460. (1887) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Troisième série pp. 1-326

Si la vie est mauvaise, et elle l’est, puisqu’elle ne peut contenter ni notre désir de bonheur, ni noire soif de science, ni notre rêve de vertu, cependant nous ne pouvons pas en accuser l’auteur même de la vie, puisque cet auteur, s’il existe, ne peut rien avoir fait que de bon. […] II Ce n’est point, en effet, une imagination riante que celle de Prévost, mais, au contraire, une imagination presque noire.

1461. (1902) Le chemin de velours. Nouvelles dissociations d’idées

Bien entendu qu’il faudrait en corriger quelques-uns et faire remarquer que c’est l’ébène qui est noire comme des cheveux noirs et le cygne qui a un cou de femme.

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