L’humanité se désapprendrait si elle n’avait sous les yeux que ce spectacle de fatalité, ce circulus de dévorement où tout est à la force, où il n’est d’autre justice que la nécessité ; où du plus petit au plus grand des animaux, du plus noble au plus vil, la vie de l’un vit de la mort de l’autre205.
Ceux-ci, sans doute, avaient au-dessus d’eux un Destin qui les écrasait ; mais, selon le mot de Pascal, alors même qu’il succombe, l’homme demeure plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt.