Un Dictionnaire universel devroit être un code de littérature & de belles-lettres ; celui de Trévoux, plus occupé à copier les phrases de nos bons auteurs, qu’à recueillir & à exposer les principes & les préceptes de la nature & de l’art, n’enseigne presque rien sur des objets si intéressans.
Byron, qui aimait la force physique pour trois raisons souveraines : parce qu’il était un être idéal, délicat et infirme, a toute sa vie recherché et choyé les heureuses créatures douées de cette mystérieuse puissance, si loin de lui qu’elles fussent, d’ailleurs, par la pensée, le sentiment et les autres distinctions faites par la nature ou par la société.