Cette quantité se trouve perdue maintenant dans une masse confuse et incohérente, à peine affinée par une instruction superficielle, qui juge d’après son goût, et qui fait le succès du moment, mais dont on ne peut dire en conscience qu’elle représente la force intellectuelle d’une nation.
Aristophane Grand-Théâtre : Lysistrata, comédie en quatre actes, de M. Maurice Donnay, musique de M. Dutacq. 3 Janvier 1893. Aujourd’hui encore, à chaque comédie satirique, ou même à chaque revue de fin d’année qu’on nous donne, il se trouve des gens pour regretter Aristophane, les uns sérieusement, les autres pour rire et par allusion à, un « cliché » déjà très vieux.