Karr a dans ses romans une originalité qui ne convient guère à nos idées plus graves, et tout son esprit de mots, de subtilités, nous échappe, parce que nous n’avons pas autour de nous les mille explications nécessaires à l’intelligence et à l’appréciation du goût de ce sel attique.
Pour en saisir véritablement les enjeux, il est nécessaire de replacer ce texte dans l’histoire du surréalisme et dans le parcours de René Crevel.