. — Benvenuto Cellini, opéra en deux actes, avec Léon de Wailly, musique de Berlioz (1838). — Chants civils et religieux (1841). — Rimes héroïques (1843). — Le Décameron, de Boccace, traduction (t 845). — Jules César, de Shakespeare, traduction (1848). — Silves (1864). — Satires (1865). — Trois passions nouvelles (1867). — La Chanson du vieux marin, de Coleridge (1876). — Contes du soir (1879). — Histoires de voyage (1880). — Chez les poètes, études, traductions et imitations en vers (1882). — Souvenirs personnels et silhouettes contemporaines (1883). — Poésies posthumes (1884).
Et l’on voit, sous les rayons de la lune d’argent, des ombres descendre les escaliers de jade de pagodes, ou, dans les maisons de thé, les bons lettrés discourir sur l’amitié, le vin, la musique.