Son père, homme instruit, passionné pour les arts, ayant même un talent distingué pour la musique, exerçait dans cette ville la profession de notaire. […] La musique était une de ses distractions ; il touchait de l’orgue, et chantait avec goût.
L’heure du Proudhon est celle d’une jeunesse et d’un 1830 qui reviennent, et du « Socrate, occupe-toi de musique… » Or le cycle des trois générations qui forment un siècle (1830-1930) semble prendre depuis 1830 une forme de spirale qui nous ramène aujourd’hui, par bien des points aux positions de cette époque.