Quiconque meurt meurt à douleur. […] Mourir avec les yeux ouverts sur la raison pour laquelle on meurt est un avant-goût de l’immortalité. […] Les pays vivent et meurent de la politique. […] Il mourut comme il avait vécu, ayant à sa droite le génie, et à sa gauche la vilenie, partagé entre la dégradation et l’enthousiasme. […] Le philosophe allemand Nietzsche, qui mourut paralytique général, parle quelque part de ces « papillons fatigués », qui meurent de lassitude mentale, après s’être promenés de thèse en thèse, sans pouvoir rencontrer, une seule fois, la reposante certitude.
Il faut les avoir vécues pour être certain que l’on peut subir une telle épreuve sans en mourir. […] Et puis, il meurt. Pourquoi meurt-il ? […] Ensuite il mourut, et sans avoir vu les papiers d’André. […] » Il veut ; et il meurt : les loups dévorent son cadavre.