C’était l’imagination de saint Jean qui ne savait qu’un mot, aimer !
Mélodrame, roman-feuilleton, tous les pires mots sont trop doux pour caractériser l’écœurante extravagance des intrigues que combine lourdement la fantaisie de Balzac.
C’était l’imagination de saint Jean qui ne savait qu’un mot, aimer !
Mélodrame, roman-feuilleton, tous les pires mots sont trop doux pour caractériser l’écœurante extravagance des intrigues que combine lourdement la fantaisie de Balzac.