La croyance qu’ils peuvent agir sur eux-mêmes donne naissance à toutes ces complexités du monde moral que l’on a décrites en traitant une première fois de l’illusion du libre arbitre, et qui sont le sentiment du mérite et du démérite, celui de la responsabilité, celui du remords, toute cette floraison d’apparences psychologiques qui jettent tant de trouble et de violence dans les actes humains.
dit l’un de nous à l’autre, avec cet affaissement moral et physique qu’a si bien peint Gavarni, dans l’écroulement de ce jeune homme tombé sur la chaise d’une cellule de Clichy.