Taillandier, et qu’en présence de sa belle amie on nous le montrât sous un jour plus doux auquel on n’est point accoutumé de le voir. […] La femme elle-même, souvent si légère ailleurs, y est dépourvue de toute coquetterie, ce vain masque d’amour et de toute inconstance… Les liaisons sont des serments tacites que la morale peut désapprouver, mais que l’usage excuse et que la fidélité justifie. » Stendhal, de même, qui savait si bien sa Rome et sa Florence, n’a cessé de nous montrer l’amour italien, exempt de toute coquetterie et de toute lutte maniérée et vaniteuse.
C’est assez montrer que Monselet a pu être poëte ; raison et nécessité, il a dû préférer la prose. […] Monselet par un autre aspect (car il a cinq ou six aspects et plus, bien des faces ou facettes), à le montrer auteur de sainètes, de figurines, de statuettes, de petits tableautins, de croquis « pas plus grands que l’ongle », de parodies et de malices de toutes sortes, dans les petits journaux où il écrit depuis quinze ans et où il s’est disséminé.