Le but de la comédie sociale, chez Ménandre, non moins que chez Sheridan, est de refléter les mœurs de son temps et non point de les réformer, et la censure du Puritain, qu’elle soit sincère ou affectée, est toujours déplacée dans la critique littéraire, et prouve qu’on est dépourvu du sentiment de la différence essentielle entre l’art et la vie.
Il ne prétend qu’à décrire les mœurs de notre temps ; il abandonne à d’autres le soin de les juger, de les flétrir et, si un tel espoir se présente, de les améliorer.