Elle peut faire la matière du premier roman qu’il annonce, je n’en serais nullement surpris ; sans en diminuer l’intérêt pour un observateur des mœurs, je suis persuadé toutefois que Drieu se lassera d’un sujet qui le contraindrait à un pittoresque, à des peintures à la Morand, pour lesquels il n’est point fait.
Il fut peut-être l’homme le plus complètement poli de son temps, d’une politesse d’Extrême-Orient qui n’est pas son seul rapport avec les mœurs et l’art de ces pays.