Jules Janin La scène du IVe acte, entre Monaldeschi et Sentinelli (dans Christine), représente l’action la plus puissante du drame moderne, et les plus vieux dramaturges en seraient fiers. […] Enfin il a créé le drame moderne avec Antony, où s’incarnent, d’une part, le plébéien révolté contre les contrats et les hiérarchies sociales, de l’autre, la femme de la société nouvelle, unissant sa propre révolte à celle de l’homme qui la désire passionnément et par-dessus tout comme le bien suprême, le plus défendu par cela même et le plus attaqué.
Se plaît-il à rester dans les temps modernes ou à s’enfoncer dans le passé ? […] On peut analyser le rythme d’un morceau avec une précision, avec une minutie dont les critiques modernes ont donné des modèles.