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2233. (1899) La parade littéraire (articles de La Plume, 1898-1899) pp. 300-117

Les plus furtives des sensations charnelles, il les a mises d’accord avec les fins universelles. […] Paul Fort de la mettre en ballade, s’il lui plaît. […] Il n’en est pas un qui ne mette la gloire de la littérature française au-dessus de sa renommée personnelle. […] Mais ma campagne n’en fut pas moins utile, puisqu’elle a mis en valeur une brillante pléiade d’artistes, puisqu’elle a mis en cours un certain nombre d’idées nouvelles. […] Moréas n’avaient pas été mis en relief par l’enquête Huret, et M. 

2234. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLe entretien. Littérature villageoise. Apparition d’un poème épique en Provence » pp. 233-312

Je vois encore d’ici ses belles longues mains blanches, sortant d’une manche de toile fine retroussée jusqu’aux coudes, pour nous tendre les mets qu’elle avait elle-même préparés ou pour remplacer les cruches de vin quand elles étaient vides. […] Et sans plus en dire chacun se met à cueillir de nouveau quelque brindille ; pourtant, avec des yeux malins en dessous, ils s’épiaient à qui rirait le premier……… » Mais lisez tout entier le passage qui suit cette rencontre involontaire des deux mains dans les feuilles. […] … La feuille tomba, puis de nouveau, comme pluie ; et puis, venu l’instant où ils la mettaient au sac, la main blanche et la main brune, soit à dessein ou par bonheur, toujours venaient l’une vers l’autre, mêmement qu’au travail ils prenaient grande joie. […] Depuis un moment, dans la bande ailée avaient, les derniers éclos, mis le bouleversement. […] « “Peut-être, dit le vannier, est-ce la peur que votre mère ne vous gronde pour avoir mis trop de temps à la feuille ?

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