Il peut mettre ce qu’il voudra dans son tableau ; pour toute raison il dira : « Cela allait bien » ; et il n’y a pas de raison meilleure.
Sans doute, il faut avoir foi dans l’avenir et croire à un temps meilleur, où la science physiologique, mieux constituée, permettra à la généralisation un plus libre essor ; mais c’est à la préparation de cet avenir qu’il faut travailler, et nous sommes intimement convaincu qu’il n’y a pas aujourd’hui de moyens plus efficaces d’accélérer les progrès de la physiologie que d’y faire des découvertes.