comme, par exemple : l’amour de la mauvaise compagnie, on explique un homme comme Byron, lui ont reproché, sans les comprendre, beaucoup de ses intimités, et celle qu’il eut avec M. […] Voilà donc, quand on y regarde, ce que fut en réalité lord Byron, le ribaud, le mauvais.
Voilà donc un être humain attaqué à la base, déjà privé d’une existence dont les facultés de sensation constituent l’essentiel aliment, et aux yeux duquel l’existence doit apparaître mauvaise et maudite. […] Tu ne seras plus un homme, nous te le répétons, mais un esclave attaché aux œuvres mauvaises, un valet de bourreaux spirituels, un instrument inerte dans la main des ouvriers du mal.