Il n’écrivait d’abord que sur des matières qui se rapportaient à ses occupations habituelles. […] Necker : il rend justice à ses nobles vues, à son désintéressement en matière d’argent, à son zèle pour la réforme partielle des abus, et aux différentes améliorations d’économie et d’humanité qu’il réussit à introduire. […] En publiant son fameux Compte rendu au roi (janvier 1781), et en appelant ainsi, lui ministre, tout le public à discuter ces matières difficiles, il ne put résister à l’idée de se glorifier lui-même et de se féliciter de ses premiers succès plutôt que de s’appliquer à les poursuivre en silence et à les consolider pour l’avenir.
matière en fusion, matière toute bouillante du plus beau chant d’une moderne Iliade, s’il y avait encore des Iliades !