La métaphore consiste donc à appliquer par analogie à l’antithèse du moi et du non-moi des mots qui expriment fort bien celle de mon corps et du reste du monde, mais qui exprimeraient fort mal celle de la matière étendue et de l’âme inétendue, et l’on ne saurait nous reprocher de distinguer l’extériorité de l’étendue ou de la spatialité, puisque jamais, en définitive, le mot externe n’a été synonyme d’étendu ou de spatial.
Il avait, en ces matières, des sentiments tranchés et des idées confuses. […] Nos gentilshommes eurent pourtant, autrefois, de l’initiative et du goût en ces matières.