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3052. (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre II. Vérification de la loi par l’examen de la littérature française » pp. 34-154

Lyriques les romans de Victor Hugo (de cette période), de George Sand (première manière), de Nodier, de Gautier, d’autres encore.

3053. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre I. La Renaissance païenne. » pp. 239-403

C’est un homme régulier, raisonnable, instruit, poli, bien élevé, qui, après douze ans de services et d’écritures en France sous la reine Henriette, finit par se retirer sagement à la campagne, où il étudie l’histoire naturelle et prépare un traité sur la religion, philosophant sur les hommes et la vie, fécond en réflexions et en idées générales, moraliste, et disant à son exécuteur testamentaire de « ne rien laisser passer dans ses écrits qui puisse sembler le moins du monde être une offense à la religion ou aux bonnes manières. » De telles dispositions et une telle vie préparent et indiquent moins un poëte, c’est-à-dire un voyant et un créateur, qu’un écrivain, j’entends par là un homme qui sait penser et parler, et qui, partant, doit avoir beaucoup lu, beaucoup appris, beaucoup rédigé, posséder un esprit calme et clair, avoir l’habitude de la société polie, des discours soutenus, du demi-badinage. […] De là aussi sa manière de concevoir les choses.

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