C’est parce qu’il y a du mal sur la terre qu’on croit en Dieu, et c’est parce qu’il y a du mal sur la terre qu’on en doute ; c’est pour nous délivrer du mal qu’on l’invoque, et c’est comme bien créateur du mal qu’on se prend à ne le point comprendre. […] Aussi faut-il le lire tout entier, comme un livre mal fait ; car son livre est mal fait, moitié incurie (au point de vue artistique), moitié dessein, et prudence, et malice. […] La réalité n’est point si tranchée que cela, ni dans le bien ni dans le mal. […] vous ai-je fait mal ? […] Le mal est que, pour M. de Climal, le doute au moins reste dans l’esprit.
Sur les paravents ou sur les potiches, ces figures peuvent être drôles : en chair et en os, elles font mal à voir, horriblement mal.