Mozart disait : « Dans l’opéra, la poésie doit être la fille absolument obéissante de la musique. » Et l’on pense si la pauvre fille, ainsi réduite à l’humble place de Cendrillon, a été mal traitée.
Wagner écrit (VI, 381) : « De tout ceci il me resta un sentiment assez mal défini, mais pour que mon art puisse vivre, il y aurait peut-être lieu de rechercher d’autres conditions de vie que celles auxquelles jusqu’alors j’avais été réduit à l’acclimatiser. » Or, quelles étaient ces conditions auxquelles jusqu’alors il avait été réduit ?