L’homme souvent traduit mal le cœur de la femme ; souvent aussi l’expression, sous une plume de femme, dépasse la pensée, quand elle écrit à celui par qui elle se sent aimée ; il y a une politesse tendre du cœur qui flatte et qui prolonge l’illusion d’un ami.
Quand les nourrices disent : Il y a un ange pour les petits enfants, elles expriment un fait vrai, savoir que les petits enfants ne se font aucun mal dans des circonstances où des grandes personnes se blesseraient ; mais, n’en voyant pas la cause, elles trouvent tout simple d’en appeler à un ange.