Mais les murs des temples, du palais du maître, des hôtels des premiers hommes de l’État, des maisons des citoyens opulents, offriront de toutes parts de grandes surfaces nues qu’il faudra couvrir. […] Mais le goût s’accroissant avec la richesse et le luxe, bientôt l’architecture des temples, des palais, des hôtels, des maisons, deviendra meilleure ; et la sculpture et la peinture suivront ses progrès.
Nous ne serions pas aussi frappez de tous les traits qui peignent l’avare, que nous le sommes, si Harpagon exerçoit sa lezine sur la dépense d’une maison reglée suivant l’oeconomie des maisons d’Italie.