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730. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCVIe entretien. Alfieri. Sa vie et ses œuvres (1re partie) » pp. 413-491

Un héros, la lyre à la main, qui chante comme Achille et qui combattrait comme lui. […] La famille d’Alfieri était noble ; mais, comme en Italie la noblesse et les arts de la main ne s’excluent pas, un de ses oncles paternels était architecte du roi, d’autres étaient militaires, commandaient à Coni ou en Sardaigne. […] Un prêtre, frère du maître de poste, me prêta un Tite-Live dont les œuvres ne m’étaient pas tombées dans les mains depuis l’académie, où je ne l’avais ni compris ni goûté. […] « Sans doute elle ne connaissait de la vie de Charles-Édouard que sa période héroïque, la période de 1745 à 1748, lorsque le duc de Fitz-James vint lui offrir la main de l’héritier des Stuarts. […] Il monte les marches du perron et frappe le seuil d’une main impatiente.

731. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIe entretien. Balzac et ses œuvres (1re partie) » pp. 273-352

Le malheureux avait une belle main, selon l’expression du maître d’écriture qu’on lui avait donné à sa sortie du collège. […] Je me trouve le plus malheureux des malheureux qui vivotent sous cette belle calotte céleste que l’Éternel a brillantée de ses mains puissantes ! […] Tout est écrit de sa main, et recorrigé deux fois sous la main de l’imprimeur. […] Mais si le hasard met, un jour ou l’autre, Louis Lambert entre leurs mains, ils en parleront peut-être ! […] De courtes convenances l’empêchent seules de me donner sa main ; mais dans peu de mois elle en est affranchie, et je suis aussi sûr de mon bonheur que de son amour !

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