Voici Don Juan qui les prend par la main et qui les mène où il veut, sauf à les planter là, au milieu du chemin, à la merci du premier qui passe. […] À la fin, nous le tenions tel qu’il est sorti des mains ou plutôt des griffes de Molière, ce magnifique damné dont le nom est immortel ! […] … Donnez-moi la main ! […] Dimanche, Monseigneur ; quand il s’en ira, les mains dans vos poches, le pauvre ne sera pas loin ; et le pauvre, trouvant votre défroque sur le dos de M. […] Maintenant, maintenant ta main !
Invitation à la danse120 Donnons-nous la main, auteur et lecteurs, et dansons ensemble dans ce chapitre, aux sons du violon de Jean-Paul, le bal humoristique et romantique du dogmatisme littéraire121. […] Géant toujours chaussé du cothurne, il porte en sa main le masque tragique132. […] Le comique est le contraire du sublime. — Dansons ici, auteur et lecteurs, dansons, le balancier en main, sur la chaîne de fleurs d’un syllogisme bien tendu138. — Le sublime ambitionne les termes généraux qui ont de la noblesse : le comique doit donc rechercher les expressions individuelles à l’adresse des sens139. […] Voici comment Jean-Paul conclut le Prologue-Programme de son Titan : Maintenant donnons-nous la main, auteur et lecteurs, et dansons ensemble dans cet ouvrage ce grand bal de la vie ; moi à la tête d’un quadrille, et vous en sautant en mesure derrière moi, accompagnés par le chant des Muses et par la lyre d’Apollon, dansons de volume en volume, de cycle en cycle, de digression en digression, d’une pensée à une autre… (Traduction de M.