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364. (1924) Souvenirs de la vie littéraire. Nouvelle édition augmentée d’une préface-réponse

C’est lui, dont on peut dire qu’il fut un mauvais maître. […] Chaque fois qu’il parlait du Maître, c’était avec des yeux pleins de larmes. […] Ce maître de la critique n’était sensible à aucune espèce de critique. […] Faguet était passé maître dans l’art de filtrer la production des autres. […] Il est certainement le seul critique de notre temps qu’on puisse comparer à Sainte-Beuve, le maître des Maîtres.

365. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXXVII » pp. 153-157

Avec du talent, ils manquent véritablement d’esprit, c’est-à-dire de quelque chose d’opportun, de mobile, d’approprié : ce qu’avait tant leur maître, lequel, heureusement pour lui, n’a connu aucun de ces néophytes exorbitants. […] Nous demandons bien pardon de la comparaison, mais ils sont un peu à De Maistre ce que Naigeon était à Diderot : avec plus de talent que Naigeon, mais avec autant d’absurdité, et aussi loin véritablement du maître.

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