Prendre au sérieux le monde et les grandeurs du monde, la vie et les occupations de la vie, la science, la politique, les passions, les plaisirs ; se plaire dans cette mêlée, désirer et craindre avec emportement, voilà un des penchants de l’âme humaine, une des habitudes de sa pensée, et le mouvement perpétuel du monde en découle.
Ils s’empressent d’ôter le joug aux chevaux baignés de sueur et leur apportent de l’épeautre mêlé avec l’orge blanche.