Laurent, que la faiblesse et l’infirmité de son père avaient mêlé au gouvernement, fut accompagné au Palais-Vieux, siège du pouvoir de la république, par les nombreux amis de sa maison. […] XII La passion de Laurent pour les lettres et surtout pour Platon, apôtre de Socrate, se mêlait à ses soins pour le gouvernement.
D’autres les étendirent, les amalgamèrent en longs poèmes ; d’autres y mêlèrent des traditions, des inventions qui n’avaient rien de celtique. […] On mêla le mysticisme chrétien au fantastique breton.